Le pétrole dépasse les 85 dollars

avril 2, 2010

Portés par l’optimisme des investisseurs pour l’économie mondiale après une série d’indicateurs, les prix du pétrole ont brièvement dépassé, jeudi 1er avril à New York, les 85 dollars, leur plus haut niveau depuis dix-sept mois.

Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de « light sweet crude » pour livraison en mai a terminé à 84,87 dollars, en hausse de 1,11 dollar par rapport à la clôture de la veille. Le baril est monté jusqu’à 85,22 dollars en séance, son plus haut niveau depuis le 9 octobre 2008. A Londres, sur l’InterContinentalExchange, le baril de Brent de la mer du Nord à échéance identique a lui gagné 1,31 dollar à 84,01 dollars.
« On continue de voir des indicateurs économiques positifs, le marché est optimiste et les prix continuent d’avancer et d’atteindre de nouveaux sommets », a constaté Tom Bentz, de BNP Paribas. Parmi les indicateurs en question ont notamment pesé les deux indices des directeurs d’achat en Chine, en hausse en mars, l’indice Tankan de confiance des grandes entreprises manufacturières japonaise, au plus haut depuis dix-huit mois, et l’accélération de l’activité du secteur manufacturier dans la zone euro et aux Etats-Unis.

Challenges, le 2 avril 2010

Ce Paso Doble entre les marchés financiers et les cours du pétrole n’est bon que pour les spéculateurs.  Les gouvernements, eux, engrangeront plus de taxes… Vous et moi allons voir le prix à la pompe encore augmenter.

L’argent de la drogue a sauvé des banques selon un conseiller des Nations unies

février 9, 2010

352 milliards de $ auraient été blanchis par les institutions financières. Une info diffusée par « The Guardian » en Décembre mais toujours très bonne à savoir.

Antonio Maria Costa, directeur de l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime a déclaré avoir la preuve que les produits du crime organisé ont été « le seul capital investissement liquide » à la disposition de certaines banques au bord de l’effondrement. Maria Costa a affirmé que la majorité des 352 milliards de dollars générés par la drogue a été absorbée dans le système économique.

S’exprimant depuis son bureau à Vienne, Maria Costa, a déclaré avoir reçu ces informations par des agences de renseignement et des procureurs depuis environ 18 mois. «Dans de nombreux cas, l’argent de la drogue a été le seul capital d’investissement liquide. Dans la seconde moitié de 2008, la liquidité a été le principal problème du système bancaire et le capital liquide est devenu un facteur important ».

« Les prêts inter-bancaires ont été financés par l’argent du trafic de la drogue et autres activités illégales … Il y avait des signes indiquant que certaines banques ont été sauvées de cette façon. » Costa a refusé d’identifier les pays ou les banques qui auraient reçu cet argent.

Le FMI a estimé que les grandes banques américaines et européennes ont perdu plus de 1 trillion de $ sur des actifs toxiques et des mauvaises créances de Janvier 2007 à Septembre 2009…

L’association des banquiers britanniques souhaitent pouvoir consulter les preuves annoncées par Antonio Maria Costa: « Nous n’avons pas fait partie  d’un dialogue sur une réglementation qui serait favorable à une théorie de ce genre. Il y avait clairement un manque de liquidité dans le système et, dans une large mesure, le manque fut comblé par l’intervention des banques centrales».

http://www.guardian.co.uk/global/2009/dec/13/drug-money-banks-saved-un-cfief-claims

La Russie augmente sa réserve monétaire … en or

février 3, 2010

La Banque centrale russe a augmenté sa réserve en or. Elle est passée de 14,533 milliards de dollars pour atteindre aujourd’hui 22,382 milliards de dollars en l’espace d’une année.

A côté de la Russie, la Chine et l’Inde ont également augmenté fortement leurs réserves d’or en 2009. Mais ces pays enregistrent toujours un certain retard par rapport à l’Europe et aux USA. Globalement l’année 2009 aura été marquée par un changement : les banques centrales diversifient leurs réserves monétaires et réduisent leur part en dollars en faveur des métaux précieux.

 Le déficit budgétaire de la Russie devrait s’élever à 6,8% du Produit intérieur brut (PIB) en 2010, a déclaré mercredi le ministre des Finances, Alexeï Koudrine, lors d’un forum économique.

 »Pour 2010, on table sur un déficit de 6,8% du PIB », a-t-il dit. En 2009, le déficit s’est élevé à 5,9% du PIB, selon des données préliminaires du ministère russe des Finances rendues publiques en janvier.

Ce chiffre s’était avéré beaucoup moins élevé que prévu en début d’année, la Russie ayant bénéficié ces derniers mois de la nette remontée des cours du pétrole, dont elle est devenue premier exportateur mondial.

 Renforcement de ses réserves d’or, de sa position sur le marché du pétrole, Moscou est bien préparée pour 2010. Le Fonds monétaire international table sur 3,6% de croissance pour la Russie. Le seul frein a son essor serait une baisse des tarifs du Gaz et du Pétrole, ce qui est pourtant l’intérêt des économies américaines et européennes pour enregistrer de la croissance.

L’armée US en Haiti, pays riche en pétrole…

janvier 31, 2010

L’armée US vient d’envoyer 10 000 soldats en Haiti. Pour mémoire, l’Ouragan Katrina sur Saint-Louis avait mobilisé 4 000 hommes de la garde nationale… Pourquoi ?

Via le site du quotidien espagnol ABC, Hugo Chavez lors d’une allocution télévisée sur sa chaine nationale a estimé que les Etats-Unis étaient responsable du séisme en Haiti… Bon ok, ce gars là n’aime pas les Cow-boys… On se dit non, c’est pas possible. Non, pas avec Obama, prix Nobel de la Paix. Je tape arme sismique sur google : un scientifique de renom français nous écrit en 2002 que cela existe. OK. Pour quelle raison les US feraient ça aux Haitiens. Là où il y l’armée US sur le globe, il y a du pétrole. Tapons pétrole – Haiti sur google. Je ne vous en dit pas plus, bonne lecture. Et comme dirait un de mes amis, c’est moche.

Le pétrole Haitien

Mai 2005

Article condensé tiré du site Potomitan.info

Le pétrole existe bien en Haïti et a été l’objet de deux explorations retraçables à deux périodes différentes de notre histoire sans aucune exploitation. Le Gouvernement de Dumarsais en 1949 a fait appel à la Atlantic Reffining Company ou ATRECO pour les recherches en hydrocarbure en Haiti.

Un puits de pétrole a été foré sur l’Habitation Caradeux dans la Plaine du Cul-de-sac non loin de l’Aéroport International. La base en béton du derrick en est toujours visible.

Sous le Gouvernement de Jean Claude Duvalier les recherches des nappes d’ hydrocarbures ont été confiées à la Crux Limited. Dès le départ on cherchait les traces du puit creusé par l’ATRECO. Faute de continuité dans les affaires publiques haïtiennes, les données n’étaient plus disponibles.

L’INAREM ou Institut National des Ressources Minières dont le Coordinateur fut Henri P.Bayard a entamé des recherches pendant près de 6 mois de Port-au-Prince jusqu’à la frontière Dominicaine comme l’aire possible du forage entrepris par l’ATRECO.

Jean Erich René, à partir d’une enquête sur de la Plaine du Cul de Sac identifia le puits de pétrole creusé par la ATRECO que cherchait la Crux Limited en 1975. Ce puits se trouve exactement sur la route vicinale qui sort de Caradeux pour aller à la chapelle Ste Marie de Pétion-ville.

La Crux Limited a entamé ses travaux de Forage à Grande Saline où le Bassin pétrolifère affleure. Ensuite la Crux Limited a préféré concentrer ses travaux dans la Baie de Rochelois à la Gonave où le pétrole a été trouvé.

Le Président Jean Claude Duvalier et les officiels du Gouvernement au cours d’une cérémonie officielle ont sablé le champagne afin de procéder au tirage des premiers jets de l’or noir qui furent analysés au Laboratoire du Département des Mines.

Quelques jours plus tard, la Crux Limited fut dédommagée pour ses travaux de forage et l’ordre lui a été intimé de plier bagages et de laisser le territoire d’Haiti. Qui a donné cet ordre et pourquoi?

Vers les années 1980, un Ministre des Mines d’Haïti a tenté de reprendre les travaux de forage. Ingénieur Géologue, il était parti pour le Vénézuéla afin d’entreprendre des pourparlers avec le Gouvernement vénézuélien pour l’exploitation du Pétrole dont le Vénézuéla partage le bassin avec Haïti.

Un commando criminel a été dépêché dans l’Hôtel au cours de son séjour pour l’abattre. Mission manquée, le Ministre des Mines a dû regagner immédiatement Haïti.

Le pétrole existe en Haïti. Les preuves et les témoignages sont convaincants.

Jean Erich René


http://www.potomitan.info/ayiti/rene/petrole.php

Janvier 2008

Article condensé tiré du site Haitiwebs

Les scientifiques Daniel et Ginette Mathurin indiquent que le sous sol haïtien est riche en hydrocarbures qui ont été répertoriés par des spécialistes étrangers et haïtiens.  » Nous avons relevé 20 sites pétrolifères « , lance Daniel Mathurin précisant que 5 d’entre eux sont jugés de grande importance par les spécialistes et les politiques.

Le Plateau central, notamment la région de Thomonde, la plaine du cul-de-sac et la baie de Port-au-Prince regorgent d’hydrocarbures, dit-il ajoutant que les réserves pétrolifères d’Haïti sont plus importantes que ceux du Vénézuela, l’un des plus grands producteurs mondiaux de pétrole.

Interrogée sur la non exploitation de ces sites, Ginette Mathurin a précisé que ces gisements sont déclarés réserves stratégiques des Etats Unis d’Amérique. Tout en faisant état de son imcompréhension d’une telle situation, elle rapelle que la caraïbe est considérée comme l’arriere cour des Etats Unis.

De plus, Daniel et Ginette Mathurin révèlent que l’Uranium 238 et 235 et le zyconium existent en gisement dans plusieurs régions notamment à Jacmel. L’Uranium est utilisé dans les réacteurs nucléaires pour la production d’energie électrique.

http://www.haitiwebs.com/forums/business/48498-haiti_regorge_de_petrole_affirment_daniel_et_ginette_mathurin.htmla>

Haïti et l’arme sismique

par Thierry Meyssan

La polémique ouverte par la publication sur notre site (Voltaire.org) d’un article évoquant la possible origine artificielle du tremblement de terre à Haïti requiert quelques précisions. Oui, l’arme sismique existe et les Etats-Unis, entre autres, la possèdent. Oui, les forces états-uniennes étaient pré-positionnées pour se déployer sur l’île. C’est insuffisant pour conclure, mais cela mérite réflexion.

http://www.voltairenet.org/article163692.html

L’arme sismique

Jean-Pierre Petit est un scientifique français, né le 5 avril 1937 à Choisy-le-Roi. Il a été directeur de recherches au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), spécialiste en mécanique des fluides, physique des plasmas et magnétohydrodynamique (MHD).

Voici ce que l’on peut lire sur son site

http://www.jp-petit.org/Divers/Armes_sismiques/Armes_sismiques1.htm

Extrait du long article écrit en 2002

On remarquera la mention des tremblements de terre et du déclenchement d’éruptions volcaniques. Cela peut paraître fou, mais finalement une cause minime, bien localisée, peut engendrer un cataclysme si celui-ci est prêt à se déclencher. Les tremblements de terre sont liés à des glissements de plaques, le long de failles. On sait qu’un tremblement de terre se produira inéluctablement le long de la faille San Andreas, en Californie et que ses effets seront dévastateurs. On ne sait pas quand ceci se produira, ce qui revient aussi à dire qu’on ne connait pas a priori l’énergie qui suffirait à déclencher le phénomène. Plus le claquement est proche et plus cette énergie sera faible. La technique permet d’agir dans les couches profondes du sol avec des ondes électromagnétiques. Les Russes avaient construit un énorme générateur appelé « Pamir » dans les années soixante dix, dont j’avais vu des photos en 1983 à Chicago, lors d’un congrès de MHD, qui pouvait être transformé sur un gros camion. C’était une des variantes du générateur de Sakharov, à compression de flux. Celui-ci avait la forme d’une boite de camembert de six mètres de diamètre. Ces générateurs, dont on savait par la suite qu’ils équipaient les canons électromagnétiques installés au sol par les Russes s’appellent également des générateurs de Pavloski. Leur fonctionnement, par « compression de flux » est analogue au système MK1 de Sakharov que tout le monde commence à connaître maintenant. On met à feu, au centre, un explosif chimique qui interagit avec un puissant solénoïde (pour le spécialiste : en régime de nombre de Reynolds magnétique élevé).

Ce système « permettait de faire circuler de forts courants électriques dans le sol ». Officiellement le dispositif était présenté comme un système d’analyse de la situation d’un terrain en mesurant sur le grandes distances et à grande profondeur la conductivité électrique du sol. On sait maintenant qu’une variation de cette conductivité est le signe de l’imminence d’une tremblement de terre. J’avais en 1983 discuté à Chicago avec les responsables russes de ce projet, anciens élèves de Vélikhov, lui même élève de Sakharov. Je réalise aujourd’hui qu’un tel système pouvait permettre non seulement d’étudier la situation pré-sismique d’un terrain mais évententuellement de déclencher le séisme. Ainsi « l’étude géophysique » constituait-elle le « projet-écran » cachant la véritable finalité de cette technologie, inimaginable par un non-spécialiste.

Physiquement parlant ces systèmes permettent des transferts d’énergie. L’énergie de départ reste celle de l’explosif qui alimente le générateur Pamir. Ce système permet de transporter par ce biais des ondes électromagnétiques une part de cette énergie à grande profondeur. Si la faille n’est pas prête à céder, il faudrait une énergie importante pour déclencher le séisme. Le système, utilisé avec modération, peut permettre de tester le terrain, un peu comme quand vous donnez de légères impulsions sur un blocs en équilibre pour voir s’il est prêt à glisser dans un ravin. Des militaires-géophysiciens peuvent ainsi localiser en secret de par le monde, dans des territoires potentiellement « hostiles » ou « devant être mis au pas » des « régions sensibles » où une action plus musclée pourrait déclencher un séisme dévastateur. Pour déclencher le séisme il suffit alors de modifier par chauffage la nature du terrain en un point qui sert de « retenue » dans la faille, de « verrou ». On provoque alors le claquage.

Chavez craint une occupation américaine

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2010/01/17/016-haiti-chavez-occupation.shtml

Le président vénézuélien Hugo Chavez a accusé dimanche les États-Unis de vouloir occuper Haïti sous prétexte d’aider ce pays, terrassé par un violent tremblement de terre.

« J’ai lu que 3000 soldats allaient arriver. Des marines armés comme s’ils allaient en guerre. Mon Dieu, il n’y a pas pénurie d’armes là-bas! Des médecins, des médicaments, du carburant, des hôpitaux de campagne, voilà ce que les États-Unis devraient envoyer! » s’est exclamé Hugo Chavez dans son allocution télévisée hebdomadaire.

Le président vénézuélien ne comprend pas pourquoi les soldats américains ne sont pas dans la rue à aider les sinistrés. « Le bouquet, c’est que vous ne les voyez pas dans les rues. Est-ce qu’ils recueillent les corps? Est-ce qu’ils recherchent des blessés? Vous ne les voyez pas. Je ne les ai pas vus. Où sont-ils? » s’est-il interrogé.

Près de 10 000 soldats américains sont déployés en Haïti. À la demande du gouvernement haïtien, ils contrôlent l’aéroport de la capitale où arrive une importante aide internationale. De plus, un navire-hôpital américain doit arriver dans les jours à venir à Port-au-Prince.

Le président haïtien René Préval a fait savoir dimanche que les troupes américaines contribueraient à ramener l’ordre dans les rues, où la tension commence à être palpable en raison de la confusion dans laquelle se fait le ravitaillement des populations.

Les propos du dirigeant vénézuélien font écho à ceux de son allié nicaraguayen Daniel Ortega, qui avait lui aussi critiqué vendredi l’envoi de 10 000 militaires américains dans l’île caribéenne.

La CIA et Blackwater/Xe protegeraient les Narco-Talibans

janvier 27, 2010

L’auteur de cet article, Gordon Duff, est un vétéran du Vietnam. Expert en défense militaire, il a été diplomate pour les Nations Unies. Il conseille aujourd’hui  des gouvernements en Afrique et au Moyen-Orient.  Selon son article , CIA et Blackwater/Xe protegeraient les Narco-Talibans.

http://www.veteranstoday.com/2010/01/23/daily-mail-blackwater-us-military-working-for-taliban-drug-lords/

Traduction :

Le Secrétaire à la Défense US, Robert Gates, a été informé par le haut commandement militaire pakistanais que les troupes pakistanaises sont submergées par des militaires hautement qualifiés et très armés dans les régions frontalières et par des terroristes opérant à travers le pays. Nous avons été informés par les sources les plus élevées que Blackwater / Xe et d’autres groupes de mercenaires ont lutté activement contre les policiers, militaires et renseignements Pakistanais. Des services qui opéraient contre le gouvernement Indien et leurs alliés en Afghanistan, des talibans seigneurs de la drogue, dont les adeptes constituent les principaux éléments de l’armée afghane .

Des enquêtes référencées dans le Daily Mail Pakistan par Abrina Elkani et Steve Nelson indiquent que, plutôt que de chasser les terroristes qui ont tué des Américains, ces groupes ont même offert aux principaux dirigeants talibans un traitement médical par les troupes US.

 Il ya des années, nous avons tous entendu la rumeur selon laquelle Osama ben Laden avaient reçu des soins dans un hôpital américain au Qatar après avoir quitté le Soudan.  Une transcription du FBI confirme en effet que ben Laden, selon le témoignage de l’ex traductrice du FBI Sibel Edmonds, travaillait pour les Etats-Unis à cette époque et avait maintenu le contact avec ses officiers de la CIA durant tout l’été fatidique de 2001.

L’armée du Pakistan a pu saisir régulièrement des armes sophistiquées de fabrication indienne utilisées par des soldats talibans dans la région frontalière. L’Inde maintiendrait 17 camps « consulaires » à l’intérieur du Pakistan, près de la frontière, à côté des installations de Blackwater, faussement désignée comme camps de la CIA ou des stations de l’USAID. Les Pakistanais prétendent que des trains entier de soldats talibans et terroristes sont utilisés pour des opérations contre des cibles civiles au Pakistan avec pour résultat des milliers de morts au cours des derniers mois lors de ces attaques. Le Pakistan a également confirmé que ces mêmes groupes ne luttent pas seulement contre les militaires pakistanais, mais aussi contre les militaires Américains.

Le Général Stanley Mc Chrystal avait retiré les forces américaines dans des secteurs clés en Afghanistan, là où de l’ennemi a tenu des régions malgré les attaques de l’armée du Pakistan. On nous dit maintenant que ces domaines sont des refuges pour ces talibans qui sont ignorés par les forces de l’OTAN dans la région.

C’est l’histoire secrète de la complicité massive de certains Américains avec des compagnies aériennes privées, suspectés dans d’autres guerres, Vietnam, Amérique centrale, et maintenant en Afghanistan de faire de la contrebande de stupéfiants. Le modèle est impossible à ignorer.

TGI-Bachelot : les militants anti-vaccins déboutés

janvier 26, 2010

Le tribunal de grande instance de Paris a débouté, lundi 25 janvier, l’association anti-vaccination Cri-Vie et le parti « Politique de vie » de Christian Cotten, personnalité contestée et considérée par certains comme un militant pro-sectes. Ils voulaient faire cesser la campagne de vaccination contre la grippe H1N1, selon eux « hautement toxique ». Marc Vercoutère, homéopathe et président de Cri-Vie, ainsi que Christian Cotten, qui était candidat aux européennes de 2009 sur la liste antisioniste de Dieudonné, avaient assigné en référé la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot. Ils demandaient également au tribunal d’ordonner une expertise sur « les effets réels du Tamiflu », utilisé pour traiter la pandémie. Lors de l’audience, tant le ministère public que la défense de la ministre avaient soulevé l’incompétence du tribunal. Une analyse suivie par le juge des référés Emmanuel Binoche, qui a appelé les parties à « mieux se pourvoir ».

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/societe/20100125.OBS4757/le_tribunal_de_grande_instance_deboute_des_militants_an.html

Le seul média qui traite de ce sujet dépeint les plaignants comme pro-sectes et antisionistes. Peut-être. En une seule phrase, c’est quand même gratuit. Mais le journaliste, pour une écriture objective et arbitraire, ne devrait-il pas parler du CV de l’autre partie, celui de madame bachelot ? Pour revenir au tribunal de grande instance, il était sûr qu’il allait souligner son incompétence sur le sujet.

La Chine accuse les Etats-Unis de déjà mener la guerre en Iran sur internet

janvier 25, 2010

Après avoir accusé la Chine d’espionnage informatique via Google, les autorités américaines voient un retour boomerang inattendu. Non, la Chine n’a vraiment plus peur de l’empire US !

Source : The Guardian

http://www.guardian.co.uk/world/2010/jan/24/china-us-iran-online-warfare

Le journal du Parti communiste chinois s’est mis en avant en critiquant vivement les États-Unis. Un éditorial montre du doigt la « guerre en ligne » menée par les USA pour fomenter des troubles en Iran comme il y a eu après les élections de l’an dernier. Un article visant les déclarations d’Hilary Clinton la semaine dernière sur la liberté sur Internet en Chine.

Cet éditorial paru dans le Quotidien du peuple a accusé les Etats-Unis de lancer une brigade de « hackers » qui avait utilisé les médias sociaux tels que Twitter pour répandre des rumeurs et de créer des ennuis.

«Derrière ce que l’Amérique appelle la liberté d’expression, on découvre des machinations politiques. Comment les troubles après les élections iraniennes en sont arrivés là ? » dit l’éditorial, signé par Wang Xiaoyang. «C’est parce que la guerre en ligne lancée par l’Amérique, via YouTube et Twitter, attise rumeurs, scissions, et seme la discorde entre les partisans de factions réformistes conservatrices. »

Washington a déclaré au moment de l’agitation qu’il avait demandé à Twitter, qui a été utilisé par des manifestants anti-gouvernementaux iranien, de rester ouvert comme plusieurs sites de médias sociaux, y compris YouTube, Facebook l’année dernière.

«Nous craignons que, dans les yeux des hommes politiques américains, seule l’information contrôlée par l’Amérique est une information libre », ajoute le communiqué.

Le journal a attaqué la décision de couper les services de messagerie instantanée de Microsoft pour les nations visées par les sanctions américaines comme Cuba, l’Iran, la Syrie, le Soudan et la Corée du Nord.

La Chine a d’abord donné une réponse discrete à l’annonce de Google selon laquelle le géant d’internet était prêts à censurer google.cn. Google a déclaré qu’il avait pris cette décision suite à une cyber-attaque chinoise visant les comptes email de militants des droits de l’homme

Cet article défie directemment Clinton qui avait eu un discours très « guerre froide », avec ses références au mur de Berlin et un rideau de « l’information ».  Ces déclarations ont conduit Pékin à mettre en garde les Etats-Unis car elles pourraient nuire aux relations bilatérales. Clinton a appelé la Chine à tenir une enquête complète et ouverte sur l’attaque de Décembre sur Google.

Dans une interview réalisée par plusieurs journaux chinois d’aujourd’hui, Zhou Yonglin, vice-directeur des opérations de l’équipe nationale de réseau informatique d’intervention d’urgence technique, a déclaré: «Toute personne ayant des connaissances techniques des ordinateurs sait que si un hacker a utilisé une adresse IP en Chine, l’attaque n’était pas nécessairement lancé par un pirate chinois ».

Des diplomates américains ont cherché à atteindre le public chinois par des blogs vendredi.

Lorsque deux grands manipulateurs d’informations jouent au poker menteur. C’est à celui qui dévoilera le plus d’informations sur les manipulations de son adversaire… Nous n’avons plus qu’à profiter du spectacle… Petit complément pour vous montrer que les Chinois ne son pas totalement des menteurs… cette fois. En juin dernier le  Général de l’armée pakistanaise Mirza Aslam Beig a affirmé que la CIA avait distribué 400 millions de dollars pour provoquer un révolution après les élections en Iran.

http://www.24-7israel.com/2009/06/cia-has-distributed-400-million-dollars-inside-iran-to-evoke-a-revolution/

Obama est coincé. Entre le Sénat, Hilary Cliton et la CIA, toujours contrôlée par les faucons de la famille Bush, Barak va être obligé de mener une guerre sur son propre territoire. 

Les dechets radioactifs s’invitent dans votre maison

janvier 19, 2010

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Des-dechets-radioactifs-dans-nos-objets-quotidiens-_39382-1216269_actu.Htm

Source : Ouest-France, le 7 janvier
Un arrêté ministériel autorise, depuis mai, l’utilisation de rebuts faiblement radioactifs dans la fabrication d’objets usuels de grande consommation. Contre l’avis de l’autorité compétente.

« Les métaux, plastiques, gravats… issus du démantèlement d’installations nucléaires pourront servir à la fabrication de ciment ou d’acier. Ces produits contaminés seront utilisés pour la construction de maisons, voitures, bateaux, vélos… » Directrice de la Criirad (association indépendante spécialisée dans le nucléaire), Corinne Castagnier ne fait pas de la science-fiction. Elle commente un récent arrêté ministériel.

Un enjeu énorme pour l’industrie nucléaire

Ce texte, publié au Journal Officiel le 14 mai, constitue une dérogation au Code de santé publique. Il permet de contourner l’interdiction, prise en 2002, d’utiliser des substances radioactives dans les biens de consommation et les produits de construction. L’Autorité de sûreté nucléaire avait pourtant émis un avis défavorable, rappellant « la position constante de la France d’éviter la dilution des déchets, notamment en les ajoutant à des biens de consommations ». Contactée hier, l’ASN maintient sa position. Les quatre ministères ¯ Santé, Écologie, Logement et Économie ¯ sont passés outre.

L’enjeu pour l’industrie nucléaire est énorme. « Avec la déconstruction d’installations importantes, comme la centrale de Brennilis (Finistère), elle se retrouve devant des montagnes de produits radioactifs dont elle ne sait que faire »,indique la Criirad. On parle de millions de tonnes de rebuts à traiter dans les décennies à venir. Trouver des sites où les stocker ne va pas être simple et le coût financier sera élevé.

Pour contrer la décision des ministères, la Criirad a « engagé une requête devant le conseil d’État pour excès de pouvoir. Ce dernier a déjà expédié des mises en demeure aux ministères en question. On attend leurs explications ». Corinne Castagnier en saura peut-être plus lundi. « Nous avons rendez-vous le matin au cabinet de Jean-Louis Borloo », le ministre de l’Environnement.

Ce n’est pas la première fois que l’industrie nucléaire tente de se débarrasser de ses déchets peu contaminés. En 2004, le tribunal administratif de Lyon a fait capoter le projet d’une filiale d’Areva. La Socatric prévoyait de recycler ses déchets via la fonderie Feursmetal. « Ils voulaient fabriquer des tracteurs avec 15 % de métal contaminé. »

Montres au radium

« Ce nouvel arrêté pose des problèmes de santé et d’environnement, s’inquiète la Criirad. On s’apprête à disperser des produits contaminés alors que dans le même temps, l’Andra récupère les objets radioactifs disséminés dans les foyers (montres au radium ou paratonnerres à l’américium). » Il est aussi en contradiction avec la lutte contre la présence de radon, gaz radioactif naturel et nocif, dans les habitations.

Les Islandais ne veulent pas payer pour les banques

janvier 15, 2010

Source : RFI

http://www.rfi.fr/contenu/20100103-islandais-veulent-pas-payer-banques

L’Islande va-telle rembourser les épargnants britanniques et néerlandais dont les économies ont disparu dans la faillite des grandes banques du pays en 2008 ? Après des mois de polémique, une loi a finalement été adoptée cette semaine. Le texte engage l’Etat islandais à rembourser. Mais voilà que l’opinion publique s’en mêle, une pétition circule, et déjà le quart des électeurs de cette petite île demande que la loi ne soit pas promulguée et qu’un referendum soit organisé.

A l’origine il y a la crise, la quasi-faillite de l’Islande, petit Etat prospère dont la bonne santé économique s’appuyait avant tout sur le système bancaire.

2008 : c’est la banqueroute, 320 000 clients britanniques et néerlandais voient en un instant fondre leurs économies placées dans une banque en ligne. Ils ont été en partie indemnisés par leur propres Etats qui, depuis, se sont retournés contre l’Islande pour demander réparation.

Après des mois de tension, Reykjavik a voté une loi qui prévoit de verser 3,8 milliards d’euros d’ici à 2014, l’équivalent de 40% de son PIB annuel. Dès lors l’opinion s’en mêle, sur le thème : ce n’est pas aux contribuables de payer pour les banques.
D’où la pétition, signée par près du quart de l’électorat selon les organisateurs, pour demander à l’indétrônable président Grimson de ne pas promulguer cette loi et d’organiser un référendum.

Il a effectivement décidé d’attendre. De quoi compliquer les relations avec le FMI et l’Union européenne, qui attend de l’Islande qu’elle solde ses comptes avant d’espérer vraiment se rapprocher.

La phrase du Jour

janvier 12, 2010

« Tout a été bien géré ». En visite au nouvel hôpital de Perpignan, pour présenter ses vœux aux personnels de santé, Nicolas Sarkozy a défendu, mardi 12 janvier à la mi-journée, la gestion gouvernementale de l’épidémie de grippe A (H1N1) aux côtés de la ministre de la santé, Roselyne Bachelot.

Cette dernière doit être auditionnée dans la soirée par la commission des affaires sociales de l’Assemblée. Il lui est reproché d’avoir mis en place un dispositif disproportionné…