L’armée US en Haiti, pays riche en pétrole…

L’armée US vient d’envoyer 10 000 soldats en Haiti. Pour mémoire, l’Ouragan Katrina sur Saint-Louis avait mobilisé 4 000 hommes de la garde nationale… Pourquoi ?

Via le site du quotidien espagnol ABC, Hugo Chavez lors d’une allocution télévisée sur sa chaine nationale a estimé que les Etats-Unis étaient responsable du séisme en Haiti… Bon ok, ce gars là n’aime pas les Cow-boys… On se dit non, c’est pas possible. Non, pas avec Obama, prix Nobel de la Paix. Je tape arme sismique sur google : un scientifique de renom français nous écrit en 2002 que cela existe. OK. Pour quelle raison les US feraient ça aux Haitiens. Là où il y l’armée US sur le globe, il y a du pétrole. Tapons pétrole – Haiti sur google. Je ne vous en dit pas plus, bonne lecture. Et comme dirait un de mes amis, c’est moche.

Le pétrole Haitien

Mai 2005

Article condensé tiré du site Potomitan.info

Le pétrole existe bien en Haïti et a été l’objet de deux explorations retraçables à deux périodes différentes de notre histoire sans aucune exploitation. Le Gouvernement de Dumarsais en 1949 a fait appel à la Atlantic Reffining Company ou ATRECO pour les recherches en hydrocarbure en Haiti.

Un puits de pétrole a été foré sur l’Habitation Caradeux dans la Plaine du Cul-de-sac non loin de l’Aéroport International. La base en béton du derrick en est toujours visible.

Sous le Gouvernement de Jean Claude Duvalier les recherches des nappes d’ hydrocarbures ont été confiées à la Crux Limited. Dès le départ on cherchait les traces du puit creusé par l’ATRECO. Faute de continuité dans les affaires publiques haïtiennes, les données n’étaient plus disponibles.

L’INAREM ou Institut National des Ressources Minières dont le Coordinateur fut Henri P.Bayard a entamé des recherches pendant près de 6 mois de Port-au-Prince jusqu’à la frontière Dominicaine comme l’aire possible du forage entrepris par l’ATRECO.

Jean Erich René, à partir d’une enquête sur de la Plaine du Cul de Sac identifia le puits de pétrole creusé par la ATRECO que cherchait la Crux Limited en 1975. Ce puits se trouve exactement sur la route vicinale qui sort de Caradeux pour aller à la chapelle Ste Marie de Pétion-ville.

La Crux Limited a entamé ses travaux de Forage à Grande Saline où le Bassin pétrolifère affleure. Ensuite la Crux Limited a préféré concentrer ses travaux dans la Baie de Rochelois à la Gonave où le pétrole a été trouvé.

Le Président Jean Claude Duvalier et les officiels du Gouvernement au cours d’une cérémonie officielle ont sablé le champagne afin de procéder au tirage des premiers jets de l’or noir qui furent analysés au Laboratoire du Département des Mines.

Quelques jours plus tard, la Crux Limited fut dédommagée pour ses travaux de forage et l’ordre lui a été intimé de plier bagages et de laisser le territoire d’Haiti. Qui a donné cet ordre et pourquoi?

Vers les années 1980, un Ministre des Mines d’Haïti a tenté de reprendre les travaux de forage. Ingénieur Géologue, il était parti pour le Vénézuéla afin d’entreprendre des pourparlers avec le Gouvernement vénézuélien pour l’exploitation du Pétrole dont le Vénézuéla partage le bassin avec Haïti.

Un commando criminel a été dépêché dans l’Hôtel au cours de son séjour pour l’abattre. Mission manquée, le Ministre des Mines a dû regagner immédiatement Haïti.

Le pétrole existe en Haïti. Les preuves et les témoignages sont convaincants.

Jean Erich René


http://www.potomitan.info/ayiti/rene/petrole.php

Janvier 2008

Article condensé tiré du site Haitiwebs

Les scientifiques Daniel et Ginette Mathurin indiquent que le sous sol haïtien est riche en hydrocarbures qui ont été répertoriés par des spécialistes étrangers et haïtiens.  » Nous avons relevé 20 sites pétrolifères « , lance Daniel Mathurin précisant que 5 d’entre eux sont jugés de grande importance par les spécialistes et les politiques.

Le Plateau central, notamment la région de Thomonde, la plaine du cul-de-sac et la baie de Port-au-Prince regorgent d’hydrocarbures, dit-il ajoutant que les réserves pétrolifères d’Haïti sont plus importantes que ceux du Vénézuela, l’un des plus grands producteurs mondiaux de pétrole.

Interrogée sur la non exploitation de ces sites, Ginette Mathurin a précisé que ces gisements sont déclarés réserves stratégiques des Etats Unis d’Amérique. Tout en faisant état de son imcompréhension d’une telle situation, elle rapelle que la caraïbe est considérée comme l’arriere cour des Etats Unis.

De plus, Daniel et Ginette Mathurin révèlent que l’Uranium 238 et 235 et le zyconium existent en gisement dans plusieurs régions notamment à Jacmel. L’Uranium est utilisé dans les réacteurs nucléaires pour la production d’energie électrique.

http://www.haitiwebs.com/forums/business/48498-haiti_regorge_de_petrole_affirment_daniel_et_ginette_mathurin.htmla>

Haïti et l’arme sismique

par Thierry Meyssan

La polémique ouverte par la publication sur notre site (Voltaire.org) d’un article évoquant la possible origine artificielle du tremblement de terre à Haïti requiert quelques précisions. Oui, l’arme sismique existe et les Etats-Unis, entre autres, la possèdent. Oui, les forces états-uniennes étaient pré-positionnées pour se déployer sur l’île. C’est insuffisant pour conclure, mais cela mérite réflexion.

http://www.voltairenet.org/article163692.html

L’arme sismique

Jean-Pierre Petit est un scientifique français, né le 5 avril 1937 à Choisy-le-Roi. Il a été directeur de recherches au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), spécialiste en mécanique des fluides, physique des plasmas et magnétohydrodynamique (MHD).

Voici ce que l’on peut lire sur son site

http://www.jp-petit.org/Divers/Armes_sismiques/Armes_sismiques1.htm

Extrait du long article écrit en 2002

On remarquera la mention des tremblements de terre et du déclenchement d’éruptions volcaniques. Cela peut paraître fou, mais finalement une cause minime, bien localisée, peut engendrer un cataclysme si celui-ci est prêt à se déclencher. Les tremblements de terre sont liés à des glissements de plaques, le long de failles. On sait qu’un tremblement de terre se produira inéluctablement le long de la faille San Andreas, en Californie et que ses effets seront dévastateurs. On ne sait pas quand ceci se produira, ce qui revient aussi à dire qu’on ne connait pas a priori l’énergie qui suffirait à déclencher le phénomène. Plus le claquement est proche et plus cette énergie sera faible. La technique permet d’agir dans les couches profondes du sol avec des ondes électromagnétiques. Les Russes avaient construit un énorme générateur appelé « Pamir » dans les années soixante dix, dont j’avais vu des photos en 1983 à Chicago, lors d’un congrès de MHD, qui pouvait être transformé sur un gros camion. C’était une des variantes du générateur de Sakharov, à compression de flux. Celui-ci avait la forme d’une boite de camembert de six mètres de diamètre. Ces générateurs, dont on savait par la suite qu’ils équipaient les canons électromagnétiques installés au sol par les Russes s’appellent également des générateurs de Pavloski. Leur fonctionnement, par « compression de flux » est analogue au système MK1 de Sakharov que tout le monde commence à connaître maintenant. On met à feu, au centre, un explosif chimique qui interagit avec un puissant solénoïde (pour le spécialiste : en régime de nombre de Reynolds magnétique élevé).

Ce système « permettait de faire circuler de forts courants électriques dans le sol ». Officiellement le dispositif était présenté comme un système d’analyse de la situation d’un terrain en mesurant sur le grandes distances et à grande profondeur la conductivité électrique du sol. On sait maintenant qu’une variation de cette conductivité est le signe de l’imminence d’une tremblement de terre. J’avais en 1983 discuté à Chicago avec les responsables russes de ce projet, anciens élèves de Vélikhov, lui même élève de Sakharov. Je réalise aujourd’hui qu’un tel système pouvait permettre non seulement d’étudier la situation pré-sismique d’un terrain mais évententuellement de déclencher le séisme. Ainsi « l’étude géophysique » constituait-elle le « projet-écran » cachant la véritable finalité de cette technologie, inimaginable par un non-spécialiste.

Physiquement parlant ces systèmes permettent des transferts d’énergie. L’énergie de départ reste celle de l’explosif qui alimente le générateur Pamir. Ce système permet de transporter par ce biais des ondes électromagnétiques une part de cette énergie à grande profondeur. Si la faille n’est pas prête à céder, il faudrait une énergie importante pour déclencher le séisme. Le système, utilisé avec modération, peut permettre de tester le terrain, un peu comme quand vous donnez de légères impulsions sur un blocs en équilibre pour voir s’il est prêt à glisser dans un ravin. Des militaires-géophysiciens peuvent ainsi localiser en secret de par le monde, dans des territoires potentiellement « hostiles » ou « devant être mis au pas » des « régions sensibles » où une action plus musclée pourrait déclencher un séisme dévastateur. Pour déclencher le séisme il suffit alors de modifier par chauffage la nature du terrain en un point qui sert de « retenue » dans la faille, de « verrou ». On provoque alors le claquage.

Chavez craint une occupation américaine

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2010/01/17/016-haiti-chavez-occupation.shtml

Le président vénézuélien Hugo Chavez a accusé dimanche les États-Unis de vouloir occuper Haïti sous prétexte d’aider ce pays, terrassé par un violent tremblement de terre.

« J’ai lu que 3000 soldats allaient arriver. Des marines armés comme s’ils allaient en guerre. Mon Dieu, il n’y a pas pénurie d’armes là-bas! Des médecins, des médicaments, du carburant, des hôpitaux de campagne, voilà ce que les États-Unis devraient envoyer! » s’est exclamé Hugo Chavez dans son allocution télévisée hebdomadaire.

Le président vénézuélien ne comprend pas pourquoi les soldats américains ne sont pas dans la rue à aider les sinistrés. « Le bouquet, c’est que vous ne les voyez pas dans les rues. Est-ce qu’ils recueillent les corps? Est-ce qu’ils recherchent des blessés? Vous ne les voyez pas. Je ne les ai pas vus. Où sont-ils? » s’est-il interrogé.

Près de 10 000 soldats américains sont déployés en Haïti. À la demande du gouvernement haïtien, ils contrôlent l’aéroport de la capitale où arrive une importante aide internationale. De plus, un navire-hôpital américain doit arriver dans les jours à venir à Port-au-Prince.

Le président haïtien René Préval a fait savoir dimanche que les troupes américaines contribueraient à ramener l’ordre dans les rues, où la tension commence à être palpable en raison de la confusion dans laquelle se fait le ravitaillement des populations.

Les propos du dirigeant vénézuélien font écho à ceux de son allié nicaraguayen Daniel Ortega, qui avait lui aussi critiqué vendredi l’envoi de 10 000 militaires américains dans l’île caribéenne.

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